Il faut se rendre à l’évidence, on divorce de plus en plus souvent. S’il y a une quarantaine d’années, en Suisse, seuls un tiers des couples divorçait, aujourd’hui, ils sont près de la moitié à le faire. Globalement, ces séparations ont lieu au bout de 15 à 18 ans de vie commune, en général lorsque les conjoints ont autour de 40 ans, ce qui veut dire que la plupart ont des enfants.

En 2008, 12.000 enfants étaient concernés par un divorce en Suisse.

Les enfants pâtissent toujours du divorce de leurs parents

Or, ces derniers peuvent beaucoup souffrir du divorce de leurs parents. Comme le rappelle le site suisse leader du divorce en ligne divorce.ch (https://divorce.ch/), on estime que près d’un cinquième des enfants de divorcés en gardent encore des séquelles psychologiques 6 ans après le divorce.

Mais ils souffrent moins s’il s’agit d’un divorce par « consentement mutuel »

Divorce à Genève sans avocat : médiation

Source : www.divorce.ch

Or, depuis l’an 2000, il est possible, en Suisse, de franchement « limiter les dégâts » psychologiques et émotionnels potentiels qui peuvent découler d’un divorce, tant pour soi que pour ses enfants en divorçant par « consentement mutuel ». Rien de tel que cette formule juridique pour « assainir » le divorce. Les conjoints n’y ont nul besoin de s’accuser ou d’embarquer leurs enfants dans des conflits de loyauté. La procédure, en effet, est très standardisée, elle est rapide (un trimestre suffit souvent) et, de surcroît bien moins chère ! Il suffit d’être d’accord pour divorcer et de remplir une convention de divorce suisse !